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Des Fêtes plus douces pour la Maison de la source Gabriel
L’importance de redonner à sa collectivité

Grâce à l’initiative d’étudiantes, au concours d’un salon de coiffure et la vente d’un caramel, la Maison de la source Gabriel de Val-d’Or a reçu des centaines de dollars en dons tout juste avant la période des Fêtes.

Chloé Pieschke, Arianne Fortier et Océanne Sabourin, étudiantes en dernière année au programme de Technique de comptabilité et de gestion, ont organisé une vente de vêtements usagés, du 8 au 22 novembre dernier, sur Facebook.

Grâce à leurs efforts, les trois étudiantes ont pu remettre une somme de 1320 $ à la Maison de la source Gabriel. «Je suis très reconnaissant de toutes les initiatives mises sur pied pour nous soutenir, souligne Serge Paradis, directeur de l’organisme. Ça nous a permis de terminer 2020 en beauté.»

Un coiffeur engagé

Au centre-ville de Val-d’Or, le propriétaire du salon Coiffure Euphoria, Christian Poirier, a lancé un tirage du 18 novembre au 18 décembre, dont les profits ont été remis à la maison de soins palliatifs, soit 2000 $.

«Je sais que l’année 2020 a été difficile pour les organismes d’ici et j’ai un lien très fort avec la Maison de la source Gabriel puisque j’y ai travaillé comme préposé aux bénéficiaires, raconte M. Poirier. Ils font un travail exceptionnel, c’était naturel pour moi de leur donner un coup de main.»

Un caramel aux saveurs d’ici

Depuis cet automne, la maison de soins palliatifs s’est associée avec le commerce Les Becs Sucrés-Salés pour la vente d’un caramel imaginé et préparé à Val-d’Or, nommé Délice de la Maison. Vendu au coût de 10 $, ce caramel aux saveurs d’ici a été produit pas moins de 1100 fois.

Pour connaître les points de vente, veuillez consulter la page Facebook de la Maison de la source Gabriel.

Une meilleure année à venir?

L’année qui s’est (enfin) conclue a été un coup dur pour les finances de la Maison de la source Gabriel. Forcé d’annuler ses différentes activités de financement, l’organisme a ainsi été privé d’entre 200 000 et 250 000 $ en 2020.

«Ç’a été très difficile pour nous, confie Serge Paradis. Même pour 2021, ce n’est pas évident de prévoir ce que nous pourrons réaliser ou non. Par contre, les entreprises partenaires répondent toujours à l’appel, ce que nous apprécions énormément.»